Il n’est bon bec que de Canard
140,00 €
Plaquette 1er SALON du Canard – 17 au 26 décembre 1954 – Brochure – in folio 20 pages – agrafée et recouverte d’une couverture de suédine estampée du Canard de H. Guilac, avec pour devise « Il n’est bon bec que de Canard ». Salon Organisé par le « Canard Enchaîné » et le Club des Amis du Canard.
Les Participants:
DESSINS :
Bellus, Gus Bofa, Pierre Devaux, Sennep, Grimbert, Carlo Rim, Maurice Henry, Charles Genty, Van Rompaey, de Lavererie, Farinole, Chancel, Saül, Roger Prat, Moallic, Serge, Ferrieu, Varé, Ansel, Gruau, Sauvayre, Peynet, E. Compard, Gus, Elsen, Aldebert.
PEINTURES ET DESSINS :
Bib, Vertès, Jean Oberlé, Dignimont, Touchagues, Van Moppès, René Préjelan, Cluzeau-Lanauve.
PEINTURES :
Edmond Heuzé, Marie-Thérèse Février, Germain Delatousche, Mario Tauzin, Henri Cheval, Georges Guazava, Delanglade, Charles Desruol, Isis Kischka, Bouisset, Georges Tautel, Albert Soulillou, René Fallet, Marcelle Bergerol, André Jean.
ILLUSTRATIONS ET GRAVURES : Lebedeff, Beuville
TERRES CUITES : Ezo
SCULPTEURS : Collamarini, Dionisi, Rafa Diligent, R. Fuzier, Violet.
CÉRAMISTES : Virginia Tentindo, Mme Shu-y, Bailly, Platon.
FOULARDS ÉCHARPES DÉCORÉS : Kovalewsky, Jacqueline Manou.
DÉCORS ET COSTUMES : Yves Bonnat.
RELIURES : Lucienne Zha.
MARIONNETTES : Yves Joly.
MAQUETTES SCULPTÉES : André Gonon.
POUPÉES : Suzanne Laforge
TAPISSERIES : René Munier
CEUX DU « CANARD » :
Pol Ferjac, Grove, Cabrol, Grum, KB2, Lap, Es Caro, César, H. Monier.
RÉTROSPECTIVE :
Chas. Laborde, Lucien Laforge, H. P. Gassier, H. Guilac, Bécan, Montagnier, André Foy, Pavil, Carrizey, Robert Desnos.
ŒUVRES DE : CEUX DU THÉÂTRE :
Noël-Noël, Armand Mestral, Michel Herbert, Jacques Grello, Mlle Assia, Mme Raphane, Mouloudji, Maurice Naville, Pierre Stephen, Lucienne Marnay.
DIVERS : Daumier (terres cuit.)
ÉTRANGERS : Peterson, Ronald Searle, Vicky, Les dessinateurs de »Il Travaso ».
PHOTOGRAPHIES : Doisneau, Sarisson, Jean Léo, Bovis, Harold.
Livré avec 4 signets originaux
En stock
Les années reliées ou brochées du Canard Enchaîné sont stockées à plat et archivées dans de bonnes conditions de conservation (obscurité, hygrométrie maitrisée et faible température), ce qui s'avère indispensable pour des journaux anciens.
Lumière : obscurité complète. Les UV agissent sur la lignine du papier et opèrent un jaunissement, souvent visible sur des journaux pliés et empilés, ne voyant la lumière du jour que sur la tranche...Le jaunissement s'accentue avec le temps et rend le papier cassant (casse de la fibre de cellulose) et fragilisé au bout de quelques années.
Hygrométrie : le taux est compris entre 45 et 65 %. Un taux trop bas entraîne un dessèchement du papier, ce qui le raidit et le rend cassant. A l'inverse, un taux trop élevé peut favoriser l'apparition de traces de moisissures.
Faible température : la température idéale pour la conservation de vieux papiers est comprise entre 16 et 20°C. Une température trop élevée peut aussi assécher le papier et le rendre cassant jusqu'à l'émiettement et accélérer les processus chimiques de dégradation du papier. Une température trop faible favorise l'augmentation du taux d'hygrométrie.
Les journaux, préalablement à leur assemblage en volumes, ont été stockés à plat sinon pliés seulement en 2 (le pli est horizontal), donc sans fragilisation du papier ni jaunissement. Le pliage en 4 est à proscrire : le papier est fortement fragilisé à la jonction des deux plis, et présente souvent un jaunissement au droit des plis.
Les collections de journaux non reliés présentent un fort risque de dégradation. Conservés en liasses, parfois ficelées, les fascicules sont en effet particulièrement sensibles aux contraintes mécaniques (tassement, pliures).
Certains fascicules ont pu faire l'objet de restaurations, en fonction des besoins et dans les règles de l’art : réparations de déchirures, petits trous, au moyen de papier type Filmoplast, sans acide.
Les photos présentées sur le site correspondent à celles des exemplaires originaux proposés à la vente, sinon celles d'exemplaires de qualité de conservation équivalente. Elles sont prises en lumière naturelle, sans filtres, les teintes visibles à l'écran pouvant ne pas refléter parfaitement celles du papier.