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N° 1491 du Canard Enchaîné – 18 Mai 1949

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Les Mémoires du Caporal Bidasse est une série satirique et humoristique qui se moque des récits militaires héroïques en adoptant le point de vue d’un soldat de rang subalterne, le Caporal Bidasse. Ce personnage fictif raconte ses aventures avec un ton désinvolte et ironique, contrastant avec les récits traditionnels des grands chefs militaires.
Introduction du Caporal Bidasse
– Bidasse se présente comme un caporal simple et décontracté, pas vraiment intéressé par la gloire ou le patriotisme exagéré. Il parle de son rôle dans l’armée avec une certaine nonchalance et un humour mordant. Il décrit son séjour à Bessoncourt, où il travaille sous les ordres de son supérieur et fait de petites missions sans importance.
L’Opération Balai
– Cette section raconte une mission banale où Bidasse et ses camarades doivent nettoyer un camp militaire, surnommée « l’Opération Balai ». À travers ce récit, l’auteur se moque de l’absurdité et de la banalité des tâches militaires qui sont souvent dramatisées dans d’autres récits.
La Soupe est Bonne
– Bidasse décrit les repas dans l’armée avec humour, parlant de la « soupe » qui est apparemment le point culminant de la journée. Il utilise ce sujet trivial pour se moquer des discours officiels qui tentent de glorifier tous les aspects de la vie militaire.
Le First Class Crokbol
– Bidasse rencontre le First Class Crokbol, un autre soldat. Leur interaction est décrite de manière caricaturale, mettant en lumière l’absurdité des protocoles militaires et des rencontres entre alliés pendant la guerre.
Baionnette… On!
– Bidasse raconte une anecdote sur l’entraînement militaire et le maniement des armes. Là encore, le ton est ironique, et le récit met en évidence l’écart entre la réalité triviale et le discours officiel sur la bravoure et le devoir militaire.
Critique des Commandants
– La rubrique se termine par une critique des décisions prises par les commandants et supérieurs militaires, souvent présentées comme étant complètement déconnectées de la réalité du terrain.
La rubrique « Les Mémoires du Caporal Bidasse » est un pastiche humoristique qui ridiculise les récits glorieux et patriotiques souvent associés à la littérature militaire. En adoptant le point de vue d’un simple caporal, l’auteur souligne les absurdités, les contradictions et les banalités de la vie militaire, offrant une perspective rafraîchissante et satirique sur les événements historiques.

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Nos Exemplaires du Canard Enchaîné sont archivés dans de bonnes conditions de conservation (obscurité, hygrométrie maitrisée et faible température), ce qui s'avère indispensable pour des journaux anciens.

Lumière : obscurité complète. Les UV agissent sur la lignine du papier et opèrent un jaunissement, souvent visible sur des journaux pliés et empilés, ne voyant la lumière du jour que sur la tranche...Le jaunissement s'accentue avec le temps et rend le papier cassant (casse de la fibre de cellulose) et fragilisé au bout de quelques années.

Hygrométrie : le taux est compris entre 45 et 65 %. Un taux trop bas entraîne un dessèchement du papier, ce qui le raidit et le rend cassant. A l'inverse, un taux trop élevé peut favoriser l'apparition de traces de moisissures.

Faible température : la température idéale pour la conservation de vieux papiers est comprise entre 16 et 20°C. Une température trop élevée peut aussi assécher le papier et le rendre cassant jusqu'à l'émiettement et accélérer les processus chimiques de dégradation du papier. Une température trop faible favorise l'augmentation du taux d'hygrométrie.

Tous les numéros sont stockés à plat et pliés seulement en 2 (le pli est horizontal). Le pliage en 4 est à proscrire : le papier est fortement fragilisé à la jonction des deux plis, formant après quelques années un trou, au milieu de chaque page...). A fortiori, les pliages en 6 ou en 12 (longtemps utilisé pour les expéditions) génèrent d'importants dégâts sur le papier, dans le temps.

Certains numéros parmi les plus anciens sont archivés pleine page dépliée. La pliure centrale des fascicules, déjà présente lors de leur diffusion et de leur vente, constitue souvent une zone de dégradation accélérée du support : on y observe un jaunissement précoce du papier, signe d’une acidité et d’une fragilité importante. Le maintien de cette pliure ne fait qu’accentuer le processus de dégradation, et se traduit par des risques élevés de déchirures à la manipulation.

Les photos des Unes présentées sur le site correspondent à celles des exemplaires originaux proposés à la vente, ou celle d'exemplaires de qualité de conservation équivalente. Elles sont prises en lumière naturelle, sans filtres, les teintes visibles à l'écran pouvant ne pas refléter parfaitement celles du papier.

Les numéros d'avant-guerre, plus rares et donc proposés en quantités limitées, présentent souvent une usure, une fragilité plus importante. Les traces du temps, telles que jaunissement lié à l'insolation ou simplement la lumière, rousseurs, traces d'humidité, plis marqués, cassures du papier fréquemment dans les coins ou le long des plis, se sont plus ou moins installés sur ces publications dont le papier approche le siècle d'âge.

Les collections de journaux non reliés présentent un fort risque de dégradation. Conservés en liasses, parfois ficelées, les fascicules sont en effet particulièrement sensibles aux contraintes mécaniques (tassement, pliures). Hormis les numéros d'avant-guerre, devenant relativement rares, les autres numéros sont écartés de notre stock dès lors qu'ils présentent ces défauts impossibles à corriger, comme des pliures marquées, jaunies ou cassantes, notamment en verticalité du journal.

Les numéros les plus anciens (de l'origine aux années 30), ont pu faire l'objet de restaurations, en fonction des besoins et dans les règles de l’art : réparations de déchirures, petits trous, renforcement des marges et des plis centraux au moyen de papier type Filmoplast, sans acide, reprise des faux plis au fer chaud.

L’évolution du format du Journal dans l’histoire :

De 1916 à 1921 :                          31 X 43 cm - 4 pages -

De 1921 à 1940 :                          37 X 54 cm - 4 pages -

De 1944 à 1948 :                          30 X 43 cm - 4 pages -

Quelques très rares numéros sur 2 pages entre 1939 et 1945, impactés par la censure.

Le Canard ne retrouve son format d'avant-guerre qu'en 1948 :

De 1948 à 1957 :                          38 X 60 cm - 4 pages* -

De 1957 à 1966 :                          38 X 60 cm - 6 pages* -

De 1966 à 1987 :                          38 X 60 cm - 8 pages* -

De 1988 à 2004 :                          36 X 58 cm - 8 pages* -

*hors numéros spéciaux